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• Paris La WebSérie •

27 juillet 2006

SaisOn 1

EpisOde 1

Paris



: Allô, Paris Everwood à l’appareil.

C’était ma belle et douce voix du matin, quoi que, j’avait ma brosse à dents dans la bouche, et que je n’articulais pas très bien, ça donnait : «  Bonchour, Parich Ch’Everdood à L’appareich ... » J’attendais patiemment la réponse de mon interlocuteur, attachant mais long cheveux d’une pince, et recrachant la tonne de pâte dentifrice/salive qu’il y avait dans ma bouche.



: Allô, c’est Sawyer …

Oh nan, Sawyer, je croît que c’est la plus mauvaise rencontre masculine que je n’est jamais faite de ma vie, il est incroyablement envahissant et m’appelle sans cesse, il l’a déjà fait hier soir pour me souhaiter bonne nuit, il a le culot de m’appeler ce matin, pour me dire bonjour ?


Paris : Oh Sawyer ! Quelle bonne surprise ! Alors tu as bien dormis ?

Okay, j’avoue que ça fait faux cul, mais j’ai oublié de préciser que Sawyer était mon petit amis. Oui, depuis deux semaines, deux semaine infernale. Mais je ne savais pas comment mettre un terme à cette relation, toute en finesse, je pouvais lui dire : «  C’est pas toi … c’est moi, j’ai besoin de respirer. » ou «  C’est pas moi … c’est toi, tu as besoin de respirer. » ou «  C’est pas de la faute de notre couple, mais de notre faute, à nous deux … ont a besoin de respirer » ou tout simplement la vérité : « Tu sais, tu es gentil, attentionné, drôle, romantique mais … on peut continuer, on doit faire une pause, une loooooongue pause . » je pourrais utiliser la manière forte : « Je ne te supporte pas, tu m’étouffes depuis deux semaines, on devrait arrêtter. Tu es un mouchoir que j’ai utiliser, et puis il est tout plein de morve … On pourra se marier et avoir des enfants dans une aure vie … j’en suis sûre que tu trouveras mieux que moi, ne pleure pas …  » Je grimaça, j’était vraiment cruelle …


Sawyer : J’appelais pour te dire bonjour. J’aimerai qu’on se voit ce soir.

J’en était sûre, j’pouvais pas lui dire bonjour un autre jour ? Okay, c’est carrement idiot mais …


Paris : Attend, je regarde dans mon agenda …

Vous trouvez ça ridicule ? Eh bien, figurez vous que j’ai un agenda. Traînant des pieds, j’alla vers mon salon la mine désespérée, je priait pour avoir un rendez vous important, un super rendez vous, oui le plus important des rendez vous qu’y tombe comme par hasard, le soir ou je doit plaquer Sawyer. Oui bien une fête, oui, la plus importante des fêtes jamais organisées, et j’y était invitée, ou bien un défilé, le plus important défilé de mode, je ne pouvais pas la rater. J’ouvra mon agenda en regardant les cases entres dix neuf heures et vingt trois heures quarante cinq, les seul heures où j’avait ma première soirée de la journée, suivit donc, par une deuxième. Ce soir, j’était occupée, il y avait un cocktail dans un des bars les plus branchés de la ville, puis, un défilé de mode ou je ne sais trop quoi, il faudra que je me renseigne au près d’Emma. Emma Low, ma meilleure amie, si on peut appeler ça comme ça, c’est la personne la plus proche de moi, on se confie tout mais pas tout tout, si je lui apprenais que je voudrais rompre avec Sawyer, elle m’arracherait la tête et dira la phrase qu’elle me sort toujouts : «  Tu trouves toujours un mpyen de tout foutres en l’air ! » C’est vrai qu’Emma est madame je sais tout, qu’elle sort avec un gars nomné Jordan, qui est encore pire que Sawyer, ma meileure amie est limite coincée, elle parle tout le temps de cuisine, de Jordan et d’enfants. Les enfants ? Elle adore ça, moi je deteste ça, le jour ou je voudrais avoir un enfant n’est pas pres d’arriver. J’ai 33 ans, mais on pense que j’en ai 27, enfin, d’apres ce que m’a dit Luigi, c’est le livreur de pizzas, je ne sais pas trop pourquoi depuis qu’il a été engagé, je suis accro au pizza, surtout que ce n’est pas du tout équilibré et que dès qu’il s’en va, je lui fait un beau sourire et éponge toute l’huile qu’y sort de la première part. Je croit même que c’est a cause de Luigi que je veux quitter Sawyer … Bref, revenons aux enfants et aux futur enfants d’Emma, elle dit qu’il auront les prénoms les plus orignaux du monde, elle en veux huit, et ose me dire que je serais la marraine de toute, qu’elle horreur … Perdue dans toute mes pensées, ça faisait déjà deux minutes que Sawyer attendait que je lui reponde :


Sawyer : Alors ? Paris ?

Paris : Oui, enfin non, enfin, je n’est pas de temps pour ce soir, ni demain, ni après demain …

J’attendit avant de continuer ma phrase, ça faisait lâche de le larguer au téléphone, apres ça, je n’oserais même plus le regarder en face :


Paris : Si tu veux, j’ai un peu de temps entre quatre heure et cinq heure, on pourrait prendre un petit café ….

Je disais café, mais je detestait le café, ça jaunisait les dents, et ça rendait mon haleine pas fraîche du tout … Je preferais boire un chocolat au lait, ou un thé …


Sawyer : D’accord, c’est parfait tant que je te vois, je suis heureux

Je detestait Sawyer pour ça, un homme normal m’aurait crié à la figure : «  Tu vois quelqu’un d’autre hein ? » Enfin, j’aimais bien Sawyer pour ça aussi, il me prenait pour sa petite poupée de porcelaine qu’il ne voulait pas détruire, et j’aimais bien qu’il me traite de cette façon …


Paris : C’est parfait, alors, je passe te prendre à la sortie du bureau. Je t’embrasse.

Il n’avait même pas eu le temps de répondre que je raccorcha, j’était incapable d’entendre son « Je t’aime ». Je soupirait, il était huit heure du matin, je me brossais les dent, et oui toujours, notre conversation avait durer quatre miniutes, et j’en avait passer deux à pronnoncer que des « che ». Je me desabhilla et entre dans la douche, Emma n’allait pas tarder à m’appeler pour venir me prendre en voiture, histoire de ne pas avoir à attendre un Taxi. Me passant de l’eau sur la figure, je pensai à ma journée, elle allait être tres chargée, je devait choisir un theme pour la nouvelle collection que je devais dessiner. Pour ça, il fallait que je passe par le conseil principal de la direction du magazine.

Je m’occupais de la rubrique mode et devais être plus que convaincante pour que tout le monde opte pour le style que je voulais dessiner. Le probleme c’est qu’à chaque réunion, je reussisait à les convaincre sur mon theme, mais que je me ridiculisait aussi devant les personnes les plus importante de la société. Comme une fois, j’arrivait souriante, pour cacher les taches que je faisait en marchant sur la belle moquette grise, j’avait marché dans une crotte en arrivant, des taches enormes, car j’avait portés des escarpins plat et que la tache s’éparpillait sur toute la longeur de ma chaussure. Où le jour où je ne voulais pas faire comme tout le monde et faire voir une vidéo pour présenter mon theme, au lieu d’un morceau de carton habituel. Je me baissait pour brancher le magnétoscope, mais au lieu qu’il s’allume, ce sont les toutes les lumieres de la société qui s’eiteignierent … Je rougissait tellement que c’était mes joues q’y produisait le seul Halo de lumiere. Il y avait une autre fois aussi, où j’était en retard, et que j’ai debarqué avec des bigoudis sur ma tête … Je savais qu’il se passerait quelque chose aujourd’hui …


Hier soir, j'ai prit le soin de repasser, oui, pour je croit la premiere fois de ma vie d'adulte, j'ai repassé. Une belle petite robe rose clair. Je lâcherai mes cheveux, portera des ballerines assortis à ma robe, une veste blanche et un sac en cuir de la même couleur. Etant redactrice mode d'un grand magasine, je me devais d'être une icône glamour et de ne laisser passer aucun détail, durant l'épisode des bigoudis, on ne me regardais plus de la même façon, c'est clair que ma reputation à prit un sacré coup.

Je sortit de la douche, et enfila un peignoir, me parfuma et me dirigea dans ma chambre. Je brandit la telecommande et alluma la chaîne météo. Il était neuf heures et demie. L'heure de me presser, m'habillant en quatrieme vitesse, je me fixait dans le miroir respirant tres fort en m'observant longuement, constat : Pas de fermeture déchirée, pas de tâches de ketchup, pas de faux plis, ni de trous. Pourtant, j'avait peur de laisser un détails, il fallait que je relise ma présentation, j'avait choisit comme theme : « Chic et Urbaine ». Etre à l'aise tout un samedi, pour devaliser les boutiques tendances du quartier, ainsi que pour remuer son corp sur les pistes de danses. J'esperai réussi à convaince le conseil, mais si ce n'est pas la honte qu'y me depasse, alors ce sera Erika Granger, l'assistante du redacteur mode masculine qui j'en suis sûre, veut me piquer ma place, avec ses allures de bimbo ecervelée, elle a plus d'un tour dans son sac. J'avoue que ses themes ne m'arrive pas à la cheville, et j'en suis sûre qu'elle à des relations plus que professionelle avec le Boss.

« Tutut ! Tutut ! »

Je reconnaisait le klaxon de la voiture d'Emma, je me pencha par la fenêtre de mon petit appart' à deux étages :

Paris  : Okay, j'arrive !

Emma Avait entendue ma voix et me fit un signe de la main. Je descendit en quatrieme vitesse et prenant le soin de ne pas tomber.

Paris : Bonjour Madame Tachter !

Madame Tachter, c'est la vieille dame qui habite juste en dessous de chez moi, je me sens obligée de lui dire même si je ne reçois aucune reponse, mon immeuble est composé de trois etages, j'occupe les deux du haut, et Madame Tachter celui du bas. Je passa la porte et monta dans la voiture d'Emma qui démarra au quart de tour :

Emma : Hello Lady Foster !

Paris : Hello Future Madame Lady Burnigh McAdams !

J'adore appeller Emma comme ça, à chaque que je la prenomnait de cette façon, ses yeux petillaients. Elle était tres heureuse avec Jordan, son boyfriends du moments. J'atendait la prochaine phrase, elle allait son prononcer le mot enfants, soit le nom Jordan où soit le mot enfant.

Emma : Alors, hier soir, j'ai redigée la recette de mon cake au chocolat façon Burnigh, ainsi que le lait frais façon moi. Jordan et moi moi avions degusté ça devant je ne sais trop qu'elle emmision passons sur MTV ...

Elle continuait sa phrase, on arrivait devant la société et comme d'habitude, Emme montra son passe pour pouvoir se garer dans le parking privé.

Emma : Alors, il adoré ce que j'avait concocter. Et j'ai aussi lu le livre qu'on avait acheter au Book Shop, celui des prénoms, le vert pomme ...

Emma ne lisait que ça, des livres sur les enfants, et je ne voyait absolument pas du quel elle parlait, j'acquiessa quand même.

Emma : Alors si c'est un garçon, ce sera Preston; et si c'est une fille ce sera Amber je pense.

Decidement, elle visait tres haut, elle avait déjà trouvé le nom de ses futurs enfants. Je descendit de la voiture suivit d'Emma, on entra des les locaux, se dirigeant vers la Salle de Réunion où la conseil nous attendait. Dans l'ascenseur, les portes se fermait, c'était clair que je stressait, le carton qui présentait mon projet glissait même sous mes doigts ...



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